Printemps pluvieux, printemps heureux ! Si et seulement si on a la chance d’avoir ses bottes Kamik à portée de pieds (secs). Retour sur une saga familiale et canadienne pour affronter pluies et frimas.
Il pleut, il mouille, la grenouille etc. Tout semblait bien parti mais la météo, ambiance « avril, ne te découvre pas d’un fil » et la pluie, esprit « giboulées de mars », sont bien revenues… Pas de panique, pour passer avec brio et les pieds au sec ces aléas climatiques, il suffit d’une paire de Kamik.
Kamik ? Quesako ? Une marque canadienne, et même québécoise : une histoire séculaire et familiale puisque la fabrique a été fondée en 1898 par les Cook en s’appuyant sur les valeurs chères au Canada : la connection avec la nature dans des conditions parfois extrêmes, l’appétence pour les sports « outdoor » et la volonté de préserver l’environnement. A la clef, manufacturing durable dans les usines et programme de recyclage des bottes usagées ! Mais il parait que les produits Kamik sont tellement robustes que les pieds les plus alertes et les météos les plus coriaces n’en viennent pas à bout ! Côté collections, Kamik propose une gamme Homme / Femme / Enfant, des modèles pour l’hiver, la pluie, la chasse et même quelques vêtements de pluie pour les petits.
En attendant, c’est par un très pluvieux matin de mai que mes bottes Kamik (modèle Heidi) ont fait leur première sortie sur les trottoirs et pavés toulousains. Confortables, efficaces pour garder les pieds absolument au sec, presque passe-partout même avec une robe et un imper : test réussi ! Kamik, l’essayer, c’est l’adopter. Prochaine étape : balade en forêt avec le chien !